mercredi 17 octobre 2012

Eau douce et eau potable



Du point de vue de la salinité, une eau douce est une eau dont la salinité est inférieure à 0,5.
Du point de vue de la dureté, une eau douce est une eau dont le titre hydrotimétrique (TH) est inférieur à 15°f. C’est donc une eau pauvre en calcium et magnésium.(1)

L'eau douce est une eau qui contient peu d'ions ou, en termes non chimiques, qui n'est pas salée. C'est l'eau des rivières et des lacs, l'eau de pluie, des glacier, des tourbière, etc. par opposition à l'eau de mer ou à la glace de l'océan artique. Ces deux types d'eau s'opposent dans les expressions poisson d'eau doucemarin d'eau douce, etc. L'eau douce n'est pas l'inverse d'une eau dure qui, elle, est définie comme une eau contenant des ions magnésium et/ou calcium. Ainsi, de l'eau contenant du chlorure de sodium dissous n'est ni douce ni dure.(2)

Bibliographie

(1) Site Futura environnement
Consultation le : 17/12/2012
(2) Site Wikipédia 
Consultation le : 17 /12/2012

Assainissement de l'eau

Les chercheurs de Veolia Environnement ont pour but d'améliorer à court terme les performances des procédés et des systèmes d'assainissement existants. 
Cet objectif se concrétise par des travaux visant à optimiser l'efficacité et le coût des traitements biologiques, à développer des solutions de gestion globale des systèmes d'assainissement, préservant au mieux les milieux naturels et les ressources en eau douce et, enfin, à maîtriser les quantités, la qualité et les transformations des boues.(1)



L’accès à l’eau et à l’assainissement pour tous est un enjeu majeur et mondial pour la paix, l’économie, et la santé publique. Aujourd’hui, 900 millions de personnes n’ont pas accès à l’eau potable et 2,5 milliards des individus de la planète n’ont pas accès à un assainissement de base. L’eau et l’assainissement sont deux domaines complémentaires dans la lutte contre de nombreuses maladies. En effet, si l’eau potable est source de vie, un environnement insalubre est quant à lui, source de risques pour la santé. Pour éviter la propagation de maladies, il est indispensable d’établir un lien entre eau, assainissement, pratiques d’hygiène et santé publique. L’accès à l’eau, sa préservation, sa bonne gestion sont donc des conditions de base de tout développement durable.(2)


Bibliographie

(1) Site Véolia
Consultation le : 17/12/2012
(2) Site : Portail de la solidarité
Consultation le : 17 /12/2012

mardi 9 octobre 2012

toujours plus de dechet


L’augmentation de la consommation et le changement de style de vie, font que les richesses naturelles du sol sont chaque jour un peu plus exploitées

L’augmentation de la consommation a également provoqué une augmentation des déchets au point que certains n’hésitent pas à comparer les ordures à une maladie qui peut en terminer avec la planète terre: l’infarctus des déchets.

Mais qu'appelle-t-on déchet?

Tout produit qui après avoir été fabriqué, touché ou utilisé perd de sa valeur pour la personne qui le possède.
Le niveau économique de chacun va conditionner la valeur que l’on donne à chaque chose et le plus ou moins long usage que l’on va en faire.
Le concept de déchet, est donc très relatif, puisque on peut considérer déchet quelque chose qui ne l’est pas pour le voisin.

Et l'évacuation de nos déchets pose problème d'autant plus que les quantités ne cessent d'augmenter.
De tous les résidus produits dans la ville, ceux qui sont le plus en relation avec notre propre consommation, sont ceux que l’on trouve dans notre sac poubelle

Agriculture et faim monde



Dans les 50 dernières années, la technologie moderne est parvenue à tripler la production céréalière mondiale et malgré cela plus d’1 milliard de personnes souffrent de la faim, 30 millions en meurent chaque année.
L’explosion démographique a surpeuplé la planète avec 6 milliards de personnes et une augmentation annuelle de 95 millions, alors que la surface cultivable est en train de se réduire avec la progression du désert.
Obtenir que la population mondiale se stabilise et qu’elle se nourrisse convenablement est sans aucun doute le grand défi de notre planète.
L'agriculture intensive est aujourd'hui fortement remise en question et ce n'est pas sans raison. Dégradation du paysage et du sol, procédés contestables de culture et d'élevage, mondialisation et appauvrissement de pays déjà en difficulté, mais aussi risques alimentaires réels.
Derrière cette agriculture intensive se cachent des enjeux économiques énormes, et le marché mondial est contrôlé par les grandes industries de l'agrochimie, propriétaires des herbicides, des pesticides et des semences.

    Faim monde

mardi 25 septembre 2012

L’agriculture en question



Dans la mesure ou nous obtenons les aliments de la terre, l’agriculture et l’élevage sont la base de notre culture, notre civilisation.


Tout au long du 20eme siècle, les agriculteurs/agricultrices des pays industrialisés se sont lancés dans la course folle de la productivité, en ayant recours, chaque fois un peu plus à l’usage de machines agricoles et de carburant, d’engrais chimiques, de pesticides…C’est la « Révolution verte ».


Ces systèmes intensifs de production ont contribué à améliorer notre niveau de vie, cependant le revers de la médaille est peu brillant : sols dégradés, eaux contaminées, perte de la biodiversité, aliments avec des résidus dangereux pour notre santé.

La globalisation impose ces modèles de production intensive à l’ensemble de la planète, et de nombreux agriculteurs sont dépossédés de leur terre et se voient obligés à émigrer vers la « terre promise ». Cette situation provoque la perte de la vie rurale et sa culture, la pauvreté et la faim dans le monde.